Elle était annoncée et très attendue : la première version mobile de Lightroom est arrivée, en compagnie de la version 5.4 de Lightroom desktop (comme il faudra désormais la nommer pour différencier les deux logiciels). Lightroom mobile 1.0 n'est disponible que pour iPad, mais une version Android est prévue dans les prochains mois.
Comme Capture One, Lightroom intègre une solution de capture en mode connecté, précieuse pour la photo de studio. Hélas, les boîtiers Sony en sont exclus, y compris les modèles haut de gamme susceptibles d'être utilisés en studio. C'est navrant, mais c'est ainsi. Avec Lightroom, il existe une solution de contournement assez simple, efficace et gratuite. Elle n'est malheureusement accessible que pour quelques boîtiers Alpha : A700, A850, A900, A58, A99, A7 et A7R. Ne me demandez pas pourquoi l'Alpha 58 figure dans la liste et pas l'Alpha 77, je n'en ai pas la moindre idée. Pour les chanceux qui possèdent de l'un des sept boîtiers compatibles, voici comment s'y prendre pour contourner l'oubli (provisoire, je l'espère) de Lightroom.
À peine huit semaines après le lancement de la version bêta publique, la realease finale de Lightroom 4 est disponible ! Pas de nouveauté notable au niveau des fonctionnalités, mais plusieurs nouveaux boîtiers sont pris en charge : Canon EOS 1D X, Canon PowerShot G1 X, Canon PowerShot S100V, Fuji FinePix F505EXR, Fuji FinePix F605EXR, Fuji FinePix HS30EXR, Fuji FinePix HS33EXR, Fuji FinePix X-S1, Nikon D4, Nikon D800 et Nikon D800E.
On l'espérait, la voilà : la version beta publique de Lightroom 4 est disponible ! Adobe a choisi une fois encore, pour notre plus grand plaisir, de proposer gratuitement pendant quelques mois une version provisoire, mais entièrement fonctionnelle, de son logiciel phare de catalogage et de développement des fichiers Raw. Si la release finale, attendue au cours du printemps, contiendra sans doute des nouveautés additionnelles, vous allez pouvoir constater que cette beta n’en manque pas, tant s’en faut.
Lorsqu'on utilise plusieurs boîtiers, il apparaît rapidement que chacun a un "rendu" spécifique. C'est naturel, mais lorsqu'on jongle de l'un à l'autre, on se rend rapidement compte que les paramètres de traitement à appliquer sont différents, ce qui fait perdre un temps précieux lorsqu'on doit régulièrement retrouver ses marques.
Le plugin LR/Mogrify pour Lightroom écrit par Tim Armes a connu beaucoup de succès, y compris sur Alphanum, le premier article que nous lui avons consacré étant actuellement en tête des articles les plus lus ! Les questions en commentaires et via le formulaire de contacts sont nombreuses, certaines à cause de l'âge de notre article dont certains éléments sont obsolètes.

Lightroom fait partie de ces rares logiciels dont on aurait du mal à se passer une fois qu'on y a goûté. J'y ai basculé mon flux de production comme une évidence le jour de la sortie de la première beta publique, il y a de cela bientôt 3 ans. Si j'avais été sur Mac en 2007, j'aurais peut-être choisi Aperture car c'était le pionnier des logiciels tout-en-un, mais je pense que le cas échéant j'aurais eu du mal à résister à l'appel de Lightroom 2 et de ses retouches locales. Aujourd'hui, mon flux de production est basé sur Lightroom et DxO Optics Pro afin, grâce à leur double communication, de bénéficier de ce que chacun de ces deux logiciels offre de mieux .
Lightroom a la réputation d'être un logiciel pensé pour les "photographes", dont l'ergonomie spécifique peut perturber au départ mais qui fait gagner un temps précieux dès que la période de prise en mains est terminée.
Quand on shoote avec plusieurs boîtiers, il peut arriver que leurs horloges soient décalées pour peu que, par exemple, on ait oublié de répercuter le changement d'heure d'été/d'hiver sur l'un d'entre eux.
L'un des plus fréquents reproches faits à la prise de vue en format raw est le temps qu'il faut consacrer au post-traitement pour convertir ses fichiers bruts en jpeg. L'ergonomie de logiciels de développement comme Lightroom a largement contribué à rendre obsolète cet argument et on peut désormais parvenir à traiter ses raws aussi vite que ses jpegs, voire même plus vite si les traitements à réaliser sont importants.