
Déjà appliquées par des modules optionnels ou des développeurs RAW comme DxO Optics Pro, PTLens, Bibble, Digital Photo Pro ou Capture NX pendant le post-traitement, les corrections automatiques des défauts optiques des objectifs le sont depuis peu dès la prise de vues par certains boîtiers. Un boîtier ne disposant pas d'une énorme puissance de calcul, ces corrections ne résultent pas d'une analyse de l'image mais de l'application d'un traitement préprogrammé. Le boîtier « sait » donc quel objectif est monté.
"Piqué, distorsion, vignettage..." Chaque essai d'objectif, chaque discussion amène son lot de termes techniques. Pour mieux comprendre leur signification, nous allons définir chacun de ces termes et tenter d'évaluer leur importance dans le choix d'un objectif selon l'usage auquel il est destiné.
La stabilisation de l'image au déclenchement est devenue incontournable au point qu'elle équipe désormais même certains compacts d'entrée de gamme. Ce système permet en effet d'éliminer tout ou partie des mouvements parasites involontaires du photographe afin d'obtenir plus de photos nettes, sans flou de bougé.La taille des capteurs numériques au format APS-C, plus petite que celle de la pellicule argentique ou des capteurs Full-Frame, induit plusieurs modifications des paramètres techniques d'une photographie. La plus perceptible d'entre elles, à savoir la modification de la focale apparente, symbolisée par le "crop factor", a déjà été abordée en détail dans cet article.
L'objet de cet article est d'aller plus loin et d'aborder une autre conséquence importante due à l'utilisation d'un capteur APS-C. Au delà de la focale apparente, la profondeur de champ et la perspective chère aux yeux des photographes subissent, elles aussi, une modification que nous allons explorer dans cet article.
Pour le novice, l'acquisition d'un reflex numérique lui ouvre les portes de la photographie sans restriction ou presque. Un boîtier reflex numérique s'accompagne d'un objectif standard (le plus souvent le Sony 18-70/3,5-5,6 DT) qui permet de faire les photos de "tous les jours".
Aujourd'hui, le module Autofocus d'un reflex numérique est un de ses composants les plus importants. Inventé en son temps par Minolta et souvent décrié à l'époque, ce système s'est évidemment imposé comme un standard et tous les boîtiers reflex proposent de multiples collimateurs auto-focus. Collimateurs en croix, en double croix, collimateurs d'assistance, collimateurs spécifiques pour les grandes ouvertures, etc. D'énormes efforts en R&D sont consentis par toutes les marques pour proposer un système de mise au point automatique de plus en plus pointu. 
La maîtrise d'un appareil reflex numérique n'est pas chose simple. On pourrait presque dire que les grands principes s'apprennent en quelques minutes mais qu'il faut de longues heures avant de les maîtriser réellement.
Pour aider l'utilisateur, tous les appareils reflex numériques, quelle que soit la marque, possèdent une molette proposant plusieurs modes d'enregistrement.
Cet article propose de les détailler et d'en expliquer le fonctionnement afin que l'amateur puisse choisir en toute connaissance de cause celui qui convient le mieux pour un sujet photographique donné.
La molette en question est souvent appelée molette PASM, faisant référence aux lettres qui y sont inscrites. Elle contient pourtant souvent de nombreux autres symboles dont nous allons également donner la signification.