Mar 16 2010

La photographie animalière #1 : introduction

Animalier_coin.jpgLa photographie animalière est un domaine en plein essor chez les amateurs. À cela plusieurs raisons : le coût moindre en numérique qu’en argentique (une rafale qui brûlait une pellicule entière ne coûtera rien ou presque en numérique), la possibilité de changer la sensibilité à la volée et ainsi de s’adapter rapidement à des conditions de prise de vue changeantes, et enfin les capteurs APS-C qui font gagner un facteur 1,5 en focale.

Pour obtenir des images de qualité, mieux vaut que la photographie animalière soit une passion car on ne doit pas compter les heures à repérer, affûter, attendre et espérer. Quand vient le moment du beau comportement animal avec une belle lumière, il est important de bien maîtriser les bases techniques pour ne pas manquer son cliché et repartir avec des regrets et des espoirs déçus. C’est à ce titre que la photographie animalière est exigeante : on aura très rarement le comportement attendu avec la lumière souhaitée deux fois de suite.
Vos compétences en photographie de portrait, de sport, de paysage ou de type paparazzi vous seront utiles car la photographie animalière, c’est un peu de tout cela réuni.

Voici une introduction à la photographie animalière avec quelques conseils de prise de vue et des considérations sur le matériel Sony Alpha utilisable dans le cadre de cette pratique.


Animalier_1.jpg
Aigrette Garzette
Sony Alpha 700, Sony G SSM 4-5,6/70-400, 330mm, Monopode, Mode A, 1/4000s, f/5,6, ISO 200



Le choix du boîtier

La totalité de la gamme actuelle disponible chez Sony permet de faire de belles images. Le progrès est tel depuis 4 ans en photographie numérique que la limitation se fera plus par le temps consacré à cette pratique exigeante par le photographe amateur que par son boîtier. Toujours est-il qu’un bon autofocus, une bonne  montée en ISO et une rafale significative sont des éléments qui acquièrent de l'importance à mesure qu'on affine sa technique et qu'on accroît son exigence.
Boîtier avec un capteur Full Frame ou APS-C ? Inévitable question... qui n'a pas de réponse monolithique. C'est à chacun de trouver son idéal car chaque solution a des avantages et des inconvénients. Le choix qui peut être également dicté par le coté financier de l’investissement, un boîtier FF étant toujours plus cher qu’un boîtier APS-C.


Animalier_2.jpg
Sanglier
Sony Alpha 700, Minolta 2,8/300 HS, Monopode, Mode A, 1/100s, f/4, ISO 400



Le choix des optiques et des accessoires

Le choix est délicat car aucun objectif n’est en mesure de répondre à l’ensemble des besoins de la photographie animalière. Selon l’espèce, l’endroit de la prise de vue ou la méthode (billebaude ou affût), on peut être amené à utiliser un zoom, un téléobjectif très lumineux ou un objectif avec une distance de mise au point minimale très faible.
On entend souvent qu’une focale de 300 mm sur un capteur APS-C représente le minimum pour pouvoir aborder la photographie animalière sereinement, certains regrettant même la perte de l’autofocus lors de l’utilisation d’un téléconvertisseur 1,4x sur un zoom comme le Sony 70-400 mm (qui permettrait d’atteindre 840 mm de focale équivalente 24x36 mm sur un Alpha 550). Fort heureusement, la photographie animalière est accessible avec des focales moins lourdes, moins onéreuses et plus généralistes.

Au catalogue Sony, les zooms 55-200 mm et 75-300 mm sont des solutions acceptables pour une prise de contact avec la photographie animalière, mais monteront assez rapidement leurs limites. L'objectif à miroir Sony 500 mm f/8 est un peu spécial. Incroyablement léger, avec un AF très satisfaisant et un piqué plus que correct en APS-C, il a toutefois deux défauts : une ouverture réduite qui en limite les possibilités en faible lumière, et un bokeh particulier qui crée un effet "donut" qui n'est pas du goût de tout le monde.
Le choix le plus qualitatif actuellement se trouve parmi les optiques suivantes :
• Zooms : Sony 70-200/2,8 - Sony 70-300/4,5-5,6 - Sony 70-400/4-5,6
• Téléobjectif : Sony 300/2,8
• Téléconvertisseurs : Sony TC 1,4x et TC 2x
À ce choix Sony, il faut ajouter quelques bons téléobjectifs Minolta, qui se comportent très bien sur les capteurs des derniers boîtiers Alpha :
• Téléobjectifs Minolta 200/2,8 HS - 300/4 HS - 300/2,8 HS - 400/4,5 HS - 600/4 HS (HS signifiant High Speed autofocus).
L’intérêt de ces grandes focales lumineuses (f/2,8, f/4 ou f/4,5) est double : permettre l’utilisation d’un téléconvertisseur, qui allonge la focale en perdant un diaphragme avec le TC 1,4x ou deux diaphragmes avec le TC 2x (les ouvertures maximales devenant respectivement f/4 et f/5,6 pour un 300/2,8 par exemple) et conserver une vitesse d’obturation élevée pour figer l’action.


Animalier_3.jpg
Rouge-gorge
Sony Alpha 900, Sony G SSM 2,8/300 + TC 1.4x, Mode A, 1/125s, f/5,6, ISO 400



Techniques de prise de vue

En photographie animalière, on utilise le plus souvent le Mode A (priorité à l’ouverture) pour maîtriser au mieux la profondeur de champ, optimiser la qualité d’image en «fermant» un peu le diaphragme (le piqué n’est pas toujours maximum à la pleine ouverture d’un objectif) tout en gérant la vitesse d’obturation. Cela ne veut pas dire que les autres modes sont inefficaces, et il peut arriver de préférer le mode S pour forcer une vitesse d’obturation face à un sujet très rapide, mais la plupart du temps le Mode A est le plus adapté.
Le choix du mode autofocus va dépendre de beaucoup de choses : animal en vol ou à l’arrêt, calme ou en activité, seul ou en groupe… impliquant autant de réglages différents.
Si l’animal bouge, l’AF-C permet à l’autofocus de suivre la cible pendant une prise de vue continue. En AF-S, la mise au point est conservée lorsque le déclencheur reste enfoncé à mi-course, même si on modifie le cadrage.


Animalier_4.jpg
Chauve-souris Roussette
Sony Alpha 900, Minolta 2,8/100 macro, Mode A, 1/40s, f/2,8, ISO 800


Pour le choix de la plage AF et des collimateurs actifs, un conseil : sécurisez votre prise de vue avec le collimateur central qui est le plus performant, et évitez l’AF Large, quitte à recadrer légèrement en post-traitement pour donner plus de force à l’image.
Quand la première image est assurée, composez au mieux avec les collimateurs périphériques, avec une sensibilité la plus basse possible pour garder le maximum de dynamique capteur et une ouverture optimisée en fonction de la profondeur de champ souhaitée (ou des contraintes liées à l’objectif utilisé).

La gestion de la sensibilité ISO est assez simple en milieu ouvert. L’objectif étant de réussir un cliché, avec un temps d’obturation bref, une montée en ISO peut s’avérer nécessaire. Dans un premier temps, sécurisez vos prises de vues en choisissant une valeur qui vous donne une certaine marge de sécurité. Avec l’A550, comme l’A900 et l’A850, les 1600 ISO sont parfaitement exploitables si vous ne sous-exposez pas trop votre photo. Une fois acquise la certitude que plusieurs clichés réussis sont «dans la boîte», vous pouvez diminuer la sensibilité pour tenter d’accroître la qualité de l’image (dynamique, micro-contraste, saturation des couleurs), tout en veillant à garder une vitesse suffisante.

Évoquons pour finir la gestion de la lumière et l’exposition. Le mode mesure spot est a éviter en photographie animalière, même pour une photo d’aigrette avec son plumage si blanc. La raison en est simple : si on perd l’animal lors d’une rafale et que la mesure spot est prise sur l’arrière-plan sombre, le blanc de l’oiseau sera très probablement brûlé et irrémédiable, même après récupération de 1 ou 1,5 IL grâce au RAW. Le mode de mesure pondérée centrale fonctionne plutôt bien, mais si on cadre avec un collimateur excentré on risque de mauvaises surprises. Finalement, c’est le mode mesure matricielle qui s’avère le plus performant, et encore plus lorsqu’on gère simultanément la correction d’exposition. Sur les photos d’aigrettes justement, une correction de -2/3 IL à -1 IL a été appliquée à la prise de vue. Pour un oiseau en vol sur un ciel bleu, la correction peut même monter jusque +2 IL.

Un conseil : prenez toujours une première photo test quand vous démarrez votre séance de prise de vue. Visualisez l’histogramme pour le caler le plus à droite possible quand vous prenez des photos en RAW. Même si vous surexposez un peu, vous récupérerez vos hautes lumières au développement. Si vous êtes en JPEG, la stratégie de Sony étant de sécuriser les hautes lumières (c’est-à-dire éviter d’avoir cet affreux fromage blanc à la place d’une texture soyeuse), vous n’aurez pas de souci à vous faire : l’histogramme sera suffisamment à gauche pour vous éviter de manquer vos photos.


Animalier_5.jpg
Léopard
Sony Alpha 900, Sony G SSM 2,8/300, Monopode, Mode A, 1/200s, f/2,8, ISO 400


Conclusion

Nous aimerions conclure ce rapide tour d’horizon de la photographie animalière avec la notion de "zone de confort".
Comme nous, les animaux ont un périmètre de sécurité qui est à eux, qui les rassure.
Vous n’allez pas suivre quelqu’un d’inconnu dans la rue à 50 cm de lui sans risquer une remontrance ou pire, une sérieuse altercation.
Vous n’allez pas approcher un lion en Afrique à pied à moins d’un mètre pour faire une image différente, car VOTRE sécurité serait en danger
Alors ce n’est pas parce que l’écureuil du bois voisin est plus facile à approcher et moins dangereux qu’il faut coloniser son environnement pour faire une image.
Du respect, une bonne paire de jumelle et quelques connaissances naturalistes vous permettrons sans aucun doute de faire les images que vous avez en tête.

Commentaires   

# 1 puis 2, mais et les objectifs indépendantsMorin 17-03-2010 09:24
Merci pour cette première intro, elle fait le point sur les objectifs de la marque. Mais pour les débutants, l'objectif 70/400 ou le 70/200 2,8 + tc a un défaut, son prix, alors quid des tamron et sigma, de leur qualité et défaut pour ce type de prise de vue ?
# Maniou 17-03-2010 09:30
Bonjour,
C'est le genre d'article qui manquait sur alpha-numerique.fr
Bravo et merci.
# Mero 17-03-2010 09:47
Merci pour cette introduction...

pour enfiler un peu les diptères, Full Frame, ça indique un capteur dont les photosites sont jointifs, alors que Full Format, c'est un capteur plein format 24x36mm...

Dommage de ne pas parler des marques tierces qui proposent des solutions alternatives aussi.

Pour la mesure de la lumière, on peut aussi parler du mode M, calé sur le sujet une fois pour toute, sachant aussi qu'une photo sous exposée en RAW peut être rattrapée en post-traitement (contrairement à une scène cramée qui est définitivement foutue) un peu comme si on montait les iso (pas tout à fait exactement, mais l'écart entre l'ampli matériel et soft n'est pas si grand que ça sur nos Sony).

Manque un petit paragraphe qui vient ensuite sur la balance des blancs ?
# Patrick Moll 17-03-2010 11:25
Merci pour vos commentaires, Gilles y répondra dans le détail.
Je lui ai demandé une présentation générale comme article introductif, qui doit se prolonger par des approfondissements sur chacun des sujets évoqués. La question des optiques de marques compatibles sera traitée dans ce cadre car l'offre est vaste et de plus en plus qualitative.
S'agissant de la balance des blancs, il n'y a pas grand-chose à en dire si on shoote en RAW vu qu'elle se fixe au développement, et qu'il n'est pas imaginable d'aller mettre une colorchecker à côté du léopard pour s'assurer de son exactitude. Tu pensais à quoi exactement, Omer ?
# MrBen 13-08-2010 17:49
Bonjour,

En ce qui concerne l'offre des objectifs pour la photo animalière, je serai bien curieux de voir une liste de ce qu'il y a sur le marché, et pour ceux qui cherchent une très longue focale, on s'arrête de toute évidence à 500 mm, je n'ai rien vu au delà, à part le Minolta 600 F4 (qui est aussi rare que le loup blanc).

Sigma annonce bien un 800 F5.6 pour Sony, mais il n'existe pas en pratique: malgré qu'il soit bien annoncé sur leur site, il n'a jamais été produit et ne le sera pas...
# Julien 15-08-2010 02:29
Curieux commentaire... Entre un 70-200 f/2.8 et un 300 f/2.8 excellents, il y a de quoi se faire les dents (et le portefeuille), on peut y ajouter un 500 f/4.5 Sigma pas mauvais du tout, un 600 f/4 Minolta donc pas plus mauvais et dispo relativement facilement si on le cherche. Il manque donc de l'extrême...

Un 500 f/4 au niveau "G", un 800 Sigma dispo avec une semaine de délai sur un site réputé pour son sérieux et des promesse de délai justement toujours tenues. Encore faut-il le commander...

Oui donc, il manque en dispo immédiate un 800 (que l'on peut donc contempler par douzaines au bord des lacs en monture nikon), un 300-800 (pareil, mais en Canon, j'en ai vu 15 la semaine dernière devant mes libellules :roll:: ), un 500 et un 600 SSM. Bref, 4 broutilles à 10.000 € chacune, vraiment la base de toute observation animalière sérieuse...

Entre le point de vue sur l'animalier en Sony selon Gilles et le point de vue sur l'animalier selon le catalogue, j'aurais tendance à me fier au résultat. Visible plus haut. Il y a des manques certes, et on espère, mais de là à empêcher...
# Ben 25-08-2010 18:52
Le 800 Sigma n'existe pas en monture Sony, c'est une information confirmée par Sigma France et Sigma Benelux.
# Patrick Lombaert 26-08-2010 19:52
Eh bien ce ne sera pas la première fois que Sigma France se trompe lorsqu'on lui pose une question.
Il existe bien un 800/5.6 Sigma dans notre monture A.

Sinon, tu affirmais qu'il n'y avait pas beaucoup de choix en très longue focale. Si le choix n'est pas aussi pléthorique que chez Canon et Nikon, il n'en reste pas moins qu'il y en a chez nous, pour peu qu'on ait l'argent (eh oui, une très longue focale, c'est rare, mais surtout chère) :
- un 400/4.5 chez Minolta
- des 400/5.6 chez Sigma et Tokina
- prochainement un 500/4 chez Sony
- un 500/4.5 chez Sigma (non HSM je précise)
- un 500/7.2 chez Sigma
- un 500/8 miroir chez Minolta et Sony
- un 600/4 chez Minolta
- un 600/8 miroir chez Sigma (mais non AF)
- un 800/5.6 chez Sigma
- un 1000/8 chez Sigma
# Julien 29-09-2010 00:30
Au passage, il y a en ce moment un Sigma 800 f/5.6 EX en monture Sony à vendre d'occasion... Pas bien loin... :wink:
# Mero 17-03-2010 12:01
Et bien, à moins d'avoir un ciel mi-nuageux changeant nuage/soleil, fixer la bdb, un peu comme en studio quand le matériel est nouveau, ou comme je le fais souvent en extérieur aussi, au départ, ça facilite grandement le traitement par la suite. Profitons de la très bonne mesure manuelle de nos alpha avec une charte. Ca se vérifie aussi sur les autres marques. L'eos 1Ds possède par exemple un capteur de bdb séparé, cela n'empêche pas des erreurs.

On peut même faire plusieurs photos de différentes situations (rarement plus de 2 ou 3). Car en bdb auto, l'appareil utilise en gros la totalité de l'image et, en fonction de l'indice IL de la scène aussi, en déduit une bdb. On le voit souvent en bdb auto, ça varie énormément avec le suivi car le fond diffère, alors que la lumière est toujours la même.
La vraie difficulté vient de lumières réellement changeantes tel que lever ou coucher de soleil, alors qu'on n'a pas toujours un repère bien gris sur l'image.

Glisser un petit carton dans un sac ne prend ni place ni ne l'alourdit.
# Patrick Moll 17-03-2010 14:13
Ça me semble un peu contradictoire, ce que tu écris, Omer. D'un côté tu dis que la balance des blancs est très délicate parce qu'elle sera très changeante et même inhomogène, d'un autre tu me parles de ton carton gris. Et tu le mets où, ton carton, si tu shootes du mammifère à 300m ou du piaf en vol ? :-)
# Gilles Laurent 17-03-2010 15:31
Merci pour ces premiers retours !

Oui Morin, le coté Optiques sera traité ultérieurement de façon plus détaillée, incluant les marques tiers comme Sigma, Tokina ou Tamron, avec des retours sur les versions motorisées.

Mero, en effet, mais en photographie animalière nous sommes déjà tellement chargés par les accessoires (camouflages, trépieds, rotules, thermos.....) que franchement la feuille blanche ne me vient pas à l'esprit. En affut, je ne me vois pas en sortir pour prendre ma bdb.
Je préfère soit la fixer en fonction de mes conditions de prise de vue, dans les 5200 K en moyenne, soit faire confiance à la bdb auto et reprendre les écarts au développement.

La bdb auto est finalement bien confortable, tout comme les ISO auto, lorsqu'on est en billebaude/approche avec des conditions qui peuvent varier très rapidement, comme par exemple lors d'un suivi d'une harde de biches traversant une plaine pour se réfugier à l'abri dans un roncier plus loin dans un sous-bois.
# Xavier 17-03-2010 16:20
Un bon tour d'horizon, qui a le mérite d'être concis et illustré intelligemment avec des prises de vue effectuées sur des boitiers et objectifs variés. J'enfoncerais volontiers un peu plus le clou sur la notion de recadrage en suggérant d'utiliser le collimateur central non pas uniquement parce-que c'est le plus précis mais aussi parce qu'en AF large c'est un peu la loterie avec le boitier qui choisi tout seul,et ce quelque soit la marque.
Et lorsqu'on maitrise davantage et/ou qu'on a un peu de temps pour composer, il est utile de ne pas faire l'impasse sur le mode AF local avec sélection du collimateur ce qui permet de peaufiner sa prise de vue. :wink:
Ceci dit j'imagine que la sélection du mode AF fera l'objet d'un paragraphe plus détaillé ultérieurement, peut-être lors d'un article sur la photo animalière en vol ou en mouvement qui est tout un programme à elle toute seule :D
# Gilles Laurent 18-03-2010 10:20
En effet, je conseille le collimateur central pour sécuriser sa première image, tout comme je le conseille pour suivre un oiseau en vol afin d'essayer de garder la netteté sur la tête de l'animal et ne pas laisser l'appareil choisir ou doit se faire la mise au point.

Ensuite en effet, l'utilisation des collimateurs périphérique est essentielle pour assurer une meilleure composition, comme pour la photo des Roussettes par exemple.

J'aborderai cela plus en détail dans une prochaine partie :wink:
# RoseMarie 18-03-2010 12:31
Sujet très intéressant et j'attends la suite avec impatience.
# dudu 24-03-2010 14:58
génial les premières bases dans la pratique que je viens d'attaquer :roll::

déjà appris quelques choses aller je vais passer en mode matriciel ;-)

vivement la suite

merci

@++
dudu
# Bravo !Cedric Chassagne 28-03-2010 23:35
Bravo Gilles pour cet article (et les photos !) tout est vraiment très juste, et une telle initiative en la matière Sony Inside est vraiment une excellente idée !

Plus qu'à faire la suite ;-) !

Amicalement, Cedric Chassagne.
# Merci...brunob 18-05-2010 17:39
...pour cet article.

J'attends la suite avec impatience.

Je note bien vos conseils. Surtout en ce qui concerne le choix du mode A à employer pour favoriser la profondeur de champ. Je préférais jusqu'à présent le mode S et la mesure matricielle, parce qu'employant rarement un trépied, la vitesse d'obturation est déterminante...

Ancien minoltiste, j'ai fait l'acquisition depuis peu d'un alpha 550 et d'un télé zoom SIGMA 150-500 mm (F5-6.3 DG APO OS HSM, ceci expliquant peut être le choix du mode S), pour satisfaire à mon hobby préféré la photo d'oiseaux.
# Blaise 24-05-2010 12:30
Merci pour cet article interessant. Les conseils du calage de l'histogramme sur la gauche en RAW et de la mesure spot vs. pondéré pour l'expo sont très précieux.
Je sens que je vais aimer votre site,(découvert il y a peu)

Amicalement, Blaise Ziegler
# papyrazzi 06-08-2010 16:33
Bravo pour cet article d'introduction, Gilles.
Très clair et concis sans être étriqué toutefois.
Les conseils s'avèrent parfaitement adaptés au sujet.

à Blaise: calage de l'histo à droite et non à gauche!
# re:Guest 06-08-2010 16:50
Correction du message précédent (que l'on ne peut éditer)

à Blaise: calage de l'histo "à droite" et non à gauche!
# sonata31 14-09-2010 12:15
Pour les objectifs il y a aussi cette possibilité
www.photo80ed.com/

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